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Me 6 avr. 2022
mercredi de rando à skis : 4. Le Linleu
Le Linleu se prêtant bien à la botanique, mais pas au ski, il a fallu….
Le Linleu se prêtant bien à la bot ...
Di 20 mar. 2022
L'Evêque
C’est tôt ce dimanche-là que nous partons en direction d’Arolla, mais la destination est si alléchante que le réveil matinal se fait avec le sourire.
Ceux qui sont familiers avec le Pigne d’Arolla connaissent la première partie de notre course : une montée raide mais efficace, entourée de rochers sur lesquels s’accrochent des séracs bleu-turquoise qui, ce dimanche-là, scintillent au soleil levant… que c’est beau !
Déjà la cabane des Vignettes est atteinte. Passé le col des Vignettes, une petite descente nous attend jusqu’au glacier du Mont Collon. Là, c’est en file indienne que nous repartons. De hauts sommets nous entourent : le Mont Collon en face de nous, la Mitre de l’Evêque à sa droite, puis l’Evêque, les pointes d’Oren et enfin, le Petit Mont Collon.
La montée se fait plus raide sur la fin. Arrivés au petit col entre l’Evêque et sa Mitre, nous déposons les skis. C’est crampons sanglés et piolet à la main que nous attaquons la dernière pente neigeuse. Nous sommes presque au sommet, il nous reste à gravir une arête rocheuse avec quelques pas d’escalade sur du bon caillou. Ce sommet se mérite vraiment !
Les skis aux pieds, c’est par un autre itinéraire que nous rejoignons le parking. La première partie de la descente nous offre une bonne neige de printemps, que du plaisir ! La suite, pour rejoindre le Bas Glacier d’Arolla, nous demande de la créativité et de l’adaptation aux diverses neiges.
Au final, ce fut un groupe aux petits oignons, un chef de course de toute confiance et une montagne presque que pour nous, bref, un magnifique cadeau ! Merci à tous pour cette sortie mémorable.
Anne-Béatrice pour Violaine et Pierre, Fabrice, Stéphane, Antoni, Sylvain et... Christian








Di 13 mar. 2022
Col du Brotset
COL DES BROTSETS dans le vent !
Dimanche 13 mars 2022
Une belle course des Alpes Vaudoises, à faire une fois dans sa vie, disait Sylvain, il a raison.
Beaucoup de variété, paysages, pentes, végétation.
Et quelque péripéties et émotions qui se terminent bien !
Ce matin-là, départ tôt, très tôt, rdv à 6h30 du stade d'Ollon, j'ai de la chance, je serai récupéré à la Barboleuse à 7h00.
Il y a du vent, du foehn depuis plusieurs jours, ça souffle bien, et ça soufflera toute la journée.
7h10 à Cergnement, départ rapide, vraiment rapide, Sylvain va vite, Violaine et Pierre, suivent, Antoni aussi, je me dis que la journée sera longue, pas de perte de temps dit le chef de course.
Rapidement, Solalex, la forêt, puis Anzeindaz, je pense que je ne tiendrai pas la journée à ce rythme, courte pause bienvenue, ouf.
Il fait froid, il faut remettre la couche enlevée un peu plus bas dans la forêt, pour traverser ce grand espace entre Anzeindaz et les premières pentes menant au Pas de La Cavagne, le passage clé du jour. Si le vent est trop fort, ça risque de compromettre le passage et nous faire changer d'objectif.
Cette approche est silencieuse, il n'y a que le bruit du vent et des couteaux, ce ne sont pas des conditions pour bavarder, et la vieille neige sous les skis ne présage pas une descente de rêve...
Pas grave, quand on aime, on ne compte pas !
La pente devient plus raide, les conversions se multiplient, le suspens du passage augmente,
Il est là, enfin ! Nous nous équipons au pied des rochers du Pas. J'étrenne piolet et crampons, 35 ans que je n'en avais pas chaussés. Sylvain organise le groupe, il monte en tête, puis Antoni, Pierre, votre narrateur et Violaine. Il y a un câble en double et une corde fixe, le tout en bon état, surtout par rapport aux descriptions que j'en avais eu, merci à ceux qui ont équipé ce passage.
Finalement, ça passe bien, mais il faut rester concentré, pas trop regarder en bas pour ceux qui ont l’appréhension du vide, ou un peu distrait comme moi, 45° de pente quand même sur une trentaine de mètres à peu près, sans se piquer les mollets avec les crampons, le piolet à la main, skis sur le dos, plus les câbles, et la corde, ce n'est pas un endroit pour rêvasser.
Tout contents d'être passés, le cœur battant. On remet skis et couteaux.
11h00 Nous respections l'horaire prévu par Sylvain, nickel !
Maintenant, pas de retour en arrière possible, reste 200m de montée pour atteindre le Col des Brotsets. Là non plus, pas le temps de discuter, trop de vent, on enlève les peaux tant bien que mal, et hop, la descente, rêvée ? Pas tout à fait, mais ça va, début de descente pas si mal, neige pas trop dure, mais un peu plus bas, la neige est toute striée et dure, ça secoue, un vrai vibromasseur ce terrain ! Je suis déjà un peu entamé, mal aux cuisses.
Tout près, les traces d'une grosse avalanche nous impressionnent, partie environ 500m plus haut, toute l'épaisseur du manteau neigeux est partie sous le sommet à l'ouest du Col des Brotsets. Ca fait réfléchir.
L'état de la neige s'améliore un peu plus bas en descendant vers le fonds de ce beau vallon qui descend vers Derborence, près des arbres dans ces pentes bien protégées du soleil, une dizaine de belles courbes signeront notre passage.
Un peu de forêt à franchir, il vaut mieux connaître pour trouver le bon passage s'il n'y a pas de traces et s'approcher du point de départ de la remontée sans être attiré par ce beau Lac de Derborence en train de dégeler, déjà en mars.
Pause casse-croûte bienvenue, je mange presque tout ce que j'ai, je me sens fatigué et me dit que la suite va être dure pour moi, surtout quand je découvre que nous allons faire 2000m de dénivelé en tout... 1250 pour le Col et 750 pour remonter par les Filasses et pas par le Pas de Cheville, aïeu !!! Je croyais 1400m en tout. Je n'ai pas bien lu le topo de Sylvain semble-t-il.
Mais du Pas de cheville, on va en reparler...
12h30 à peu près, début de la deuxième montée, on démarre par le chemin d'été, la neige est déjà rare à 1500m. La pente est raide là aussi, et le chemin sinueux dans ces arbres, un joli coin.
Deux skieurs nous rattrapent et s'intercalent parmi nous cinq...
Et là, quelque chose se détraque !
Sylvain, Violaine et Pierre sont devant les deux gars, Antoni et moi derrière, on ne se voit plus dans ces arbres et sur ce chemin tortueux. Antoni s'est arrêté pour enlever sa veste, et me dit :
« vas-y, vas-y, je te rejoins », je repars et ne voit que les deux gars devant, un seul chemin, je les suis, et cette pente raide se termine pour déboucher sur le versant d'une longue combe qui monte légèrement vers l'ouest, beaucoup de traces au sol et les deux gars toujours devant, je les suis... La tête dans le guidon, Antoni ne revient pas, (je saurai plus tard qu'il n'a pas fait qu'enlever la veste).
Confiant, je me dis que je vais rejoindre les trois devant, je suis les deux gars, l'un en split-board, l'autre à skis, je passe le petit châlet « Les Penés » et les minutes passent, je me dis « qu'est-ce qu’il fait Antoni ?
C'est bizarre, je ne vois plus Sylvain, Violaine et Pierre devant, merde ! Que se passe-t-il ? Sur le moment, je n'ai pas assez réfléchi, je me suis dit « avance ce sera toujours ça de fait » 1ère erreur ! Je pense même pour avancer à une tirade de western spaghetti « Le bon, la brute et le truand,
- « dans la vie, il y a deux sortes de gens, ceux qui ont les revolvers, et ceux qui creusent » petite musique de Sergio Leone... Je me dit qu'à ce moment-là, je dois remonter suivant cette trace, je creuse !!!
Et j'ai avancé, plutôt vite finalement, sans m'arrêter, en suivant les deux gars vers le Pas de Cheville « d'hiver », Je pensais bêtement que Sylvain Violaine et Pierre étaient devant, et que je n'avançais pas assez vite... mais pas d'Antoni derrière, même loin, la combe donne un bon point de vue vers l'aval, je me suis même demandé s'il n'était pas descendu à Derborence.
Arrivé à 2000, au passage d'hiver du Pas de Cheville, personne ! J'envoie un SMS à Sylvain :
« il est 14h, j'attends Antoni qui est censé monter derrière moi, à 14h30 je repars vers la crêperie de Cergnement », nous en avons parlé ce matin. Je ne vérifie pas s'il y a du réseau ou pas et que le message est bien parti, 2ème erreur !
J'en profite pour me couvrir et me restaurer avec ce qui me reste, et le dernier thermos au Cynorhodon sucré est un délice, le vent s'est remis à souffler, il fait froid, j'attends Antoni, je pense au roman de Buzzatti, les Désert des Tartares, un homme attends face à un désert...
Je repars inquiet à 14h30, je regarde partout autour , je repense au passage prévu du retour de Derborence qui ne passait par le Pas de Cheville, personne, personne ! Anzeindaz, personne ! Solalex personne !
Arrivé à la Crêperie, personne du groupe ! Merdum, je les imagine inquiets, je suis loin du compte. Je m'installe à l'intérieur, commande du cidre et une crêpe, regarde mon téléphone, et je vois qu'il est en mode « avion » !!! Quel con je fais, le message n'est jamais parti, je réalise qu'ils doivent être plus qu'inquiets.
Effectivement, quelques instants plus tard, le téléphone sonna :
- « Allo, Mr Barthélémy ? C'est le 144, ou êtes-vous ? »
- « A la Crêperie de Cergnement, je viens de me rendre compte que mon téléphone était en mode avion alors que je croyais avoir avertis mes compagnons pour qu'ils ne s'inquiètent pas »
- « Vos amis vous cherchent depuis 2h... (il est 15h30) Je vous les passe, restez en ligne »
- « Allo Sylvain... »
- « Où es-tu, qu'est ce qui s'est passé ? »
- « Je me suis retrouvé tout seul avant le châlet les Penés, attendant Antoni censé être derrière moi, et ne vous voyant pas devant les deux gars qui nous avaient doublé Antoni et moi, j'ai attendu Antoni qui n'a pas réapparu, et envoyé un message avec le téléphone en mode avion pour dire : pas de soucis je suis au Pas de Cheville, j'attends un peu Antoni, et après je vais à la Crêperie »
- « On t'a cherché partout, fait demi-tour, redescendu là où tu as quitté Antoni... Tu as disparu !!! »
- « Vous êtes loin de Cergnement ? »
- « Non, 10-15mn »
- « Alors, à tout de suite »
Et ils arrivèrent, contents, très contents de se retrouver !
Finalement, je n'ai pas vu qu'ils avaient pris un autre itinéraire que le chemin très marqué menant au Pas de Cheville d'hiver, et ça juste avant le Chalet des Penés. J'ai suivi les deux autres randonneurs.
Ensuite ils m'ont appelé mais je n'ai pas entendu, c’était déjà trop tard, et là le stress a commencé pour eux, ils ont cru aussi que j'étais redescendu à Derborence, trop fatigué, (je l'avais dit au casse-croûte que j'étais fatigué), ils sont redescendus, appelé le 144, puis remontés par le Chemin du pas de Cheville, ils m'ont même vu au loin avec les deux autres gars... mais me pensant fatigué, n'ont pas cru que c'était moi, trop loin déjà... Violaine a même dit après « Tu prépares la Patrouille ou quoi ? »
Et voilà, une bouteille de cidre et quelques crêpes plus tard, tout est bien qui finit bien.
Moralités :
- Restons à vue les uns des autres.
- Arrêt pour se regrouper aux intersections, surtout pour quitter un itinéraire très marqué.
- Un membre du groupe doit être désigné comme lanterne rouge à la descente comme à la montée.
- Pas de mode avion quand on se retrouve seul en montagne isolé du groupe.
Ça évite que le chef de course ne se fasse des cheveux blancs.
Bon ok, Sylvain est chauve. Ça n'est pas une raison ! :-)
Au final, une journée mémorable ou j'aurai beaucoup appris.
A bientôt à tous ! Sur des neiges printanières, j’espère.
Franck








Di 6 mar. 2022
Fenêtre d'Allèves
La Tourche et la Croix de Javerne
Une fois de plus, cette saison, nous boudons le Valais et optons pour un plan B, plus proche de chez nous et offrant de meilleures conditions.
Nous proposons donc à nos vaillants participants de gravir la Tourche. Il n’y a malheureusement pas suffisamment de neige pour démarrer la course juste au-dessus du village de Morcles. Mais aux Martinaux, elle est en suffisance. Nous avalons donc ce premier sommet assez rapidement; c’est efficace, comme on aime. Nous plongeons avec délice dans la poudreuse très peu tracée du vallon de Javerne. C’est assez incroyable de jouïr d’aussi bonnes conditions dans un cadre relativement sauvage. Nous croisons assez peu de skieurs et ce n’est pas pour nous déplaire. Durant l’ascension jusqu’à la Croix de Javerne, nous prenons le temps d’observer quelques pentes quasiment vierges et décidons, pour une partie du groupe, de profiter de descendre encore une fois avant de remonter jusqu’à la Tourche. Nous retrouvons nos compagnons pour la dernière descente sur une neige malheureusement pas encore revenue; massages garantis !
Une bien belle journée avec une super équipe qui se termine dans un Tea-Room autour de délicieuses petites pièces. Miam !






Sa 5 mar. 2022
Birghorn
Départ de Wiler pour une longue ascension éprouvante et glaciale de 4 remontées mécaniques !
Nous entamons notre progression aussi vite que possible mais aussi lentement que nécessaire en direction du Birghorn!
Le tout dans un froid polaire, mais sous les rayons bienveillants d’un soleil radieux …
4 motivés ont escaladés une jolie petite arrête rocheuse pour arriver au sommet, accueilli par un panorama grandiose !
Après une petite pause dans la bonne heure du note équipe de choc et nous entamons une première descente ou le mot d’ordre est ‘ inspire-expire et surtout ne tombe pas’ …!!!
Il a fallu repauter pour rejoindre le Petersgrat et poursuivre notre périple de 1500 mètres de descente dans une neige pas aussi poudreuse qu’espérée, mais dans une ambiance incroyable !
Nous terminons à Fafleralp autour d’une super goûter-apéro en terrasse !
Et plein shuss jusqu’au village où malgré une master class d’auto-stop ratée, nous attendons le bus en nous airdroppant nos photos du jour!
Un grand bravo à notre super chef de course pour avoir pu ressortir son bus du parking mais surtout pour nous avoir organisé cette superbe journée où la cohésion de groupe et le rire ont été les maîtres mots !








Me 2 mar. 2022
mercredi de rando à skis : 3. Croix Javerne
Pour cette 3 ème sortie de ski de randonnée du mercredi, nous sommes partis des Plans sur Bex dans la bonne humeur, le plaisir des retrouvailles ou celui de faire de nouvelles connaissances. Un groupe multigénérationnel, dynamique et bigarré. Le fond de l’air était à peine frisquet à une heure encore matinale pour la saison. La destination avait été revue par notre chef de course Christian afin de nous éviter un interminable plat. Qu’il en soit remercié !
Après une petite mise en jambe, CR nous a conseillé de mettre les couteaux pour affronter la montée en forêt sur un sentier étroit, parfois raide et gelé. Nous avons pu zigzaguer entre les racines des épicéas et quelques cailloux et ainsi (selon Nicole) muscler quelques zones habituellement moins sollicitées. Finalement nous avons débouché dans la jolie combe du Creux d’Euzanne encadrée par la Pointe des Savolaires, le Col des pauvre et la Dent Rouge à gauche et la crête d’Euzanne à droite, notre objectif du jour: quelques traces de prédécesseurs mais suffisamment de place pour faire les nôtres le moment venu. Nous entamons la montée sur la droite et après une progression régulière, nous méritons une petite pause au soleil nous rassasiant de la vue sur les massifs d’Argentine et des Muvrans, de fruits secs et autres barres…Nous atteignons la Crête que nous suivons aussi loin que possible et pouvons pique-niquer sans vent et sans gants. La descente dans une neige encore poudreuse, puis un peu de slalom entre vernes et sapinets nous permet de rejoindre la route forestière où nous nous laissons glisser presque jusqu’au bistrot. Un accueil chaleureux, quelques gourmandises et rafraichissements et nous nous quittons ravis. Merci encore à notre chef de course ainsi qu’ à Antoinette. A leur santé !
CHR : Avec mes regrets d’avoir “oublié” la pause en cours de montée !
S’il y avait de la neige chez nous, dans le Chablais, ce sera la misère au Col du Simplon ! Mais ça on ne le savait pas ! Partis confiants avec le beau annoncé, il a vite fallu constater que le samedi sera consacré à zig-zager pour éviter les cailloux jusqu’au Spitzhorli, joli point de vue par ailleurs. Et en revenir de même, avec quelques pas dans l’herbe. Un logement agréable et un petit-déjeuner avalé tôt (après l’avoir déniché) nous ont permis d’attaquer la montée du lendemain pleins d’espoir, celui de trouver la neige à plus haute altitude. Il y en a eu, mais pas assez, et “raide gelée”. Dès le passage traversant, franchi avec les couteaux aux skis (5 heures sans enlever les couteaux !), nous avons compris : ce ne serait pas bon du tout ! Nous avons continué à zig-zager au mieux entre les pierres, les zones gelées et les zastrugis. Ralentis par les conditions désagréables, glacés par le vent froid et fatigués en arrivant au Col du Breithorn, on fait les comptes (de temps) et au vu de l’horaire prévisionnel… on décide de faire demi-tour. Un passage sur un bequet sympa fera “le sommet du jour”, avec un petit jeu d’escalade pour le plaisir. Le pique-nique à 13h30 ! (… c’est une sortie avec Christian !) et le retour d’un ski ardu, voire difficile, nous vaudrons le plaisir… d’arrriver en bas ! avant le bonheur d’un pot apprécié en joyeuse compagnie. La sortie valut peu, mais le groupe valait beaucoup ! Déjà ça ! Bon pas de lune ! dans cette soirée couverte. La météo annonçait… Bon pas de lune ! dans cette soirée couv ... Un risque d’avalanche étudié, mais maîtrisé ce jour-là, nous a permis de partir en direction de la Cape au Moine, avec toutefois une but de rechange si la situation devait s’avérer sensible. Finalement la pente finale s’avéra stable, la trace choisie au plus sûr. Nous avons juste renoncé au sommet du sommet, la partie à parcourir à pied étant glacée, pas praticable sans crampons ! Nous avons vu que, même avec crampons mais sans corde, 2 dames ont bien réussi leur montée, mais pas leur descente ; glissant et chutant sur 4 mètres les crampons en avant, il s’en fallu de très peu qu’elles éborgnent le chef de course parti pour les aider. Emotions digérées, cassecroute avalé, ce fut une belle gorgée de neige poudreuse pour le dessert. Avant un peu de ski-cross en fond de vallée. christian Après la théorie du jeudi soir… au chaud, faudra se mettre à l’oeuvre dans le foid. C’est donc avec nos habits chauds que nous irons faire notre entrainement, pour celles et ceux qui connaissent déjà, et leur apprentissage pour les “nouveaux”. Ce sera à La Lécherette. Une répartition en groupes de connaissances plus ou moins homogènes permet de démarrer et de se déplacer vers les “Cornets” tout en parlant de sécurité lors du déplacement. Puis ce sera la pratique du DVA, des cas simples d’abord, puis les “enssevelissements multiples” et le marquage. Ce qui permet d’aborder les questions d’organisation de secours sur place. Avant un pique-nique glacé dans le petit vent, sans le soleil du début de matinée. Nous étions heureux de reprendre nos activités et de finir par nous réchauffer tous ensemble aux exercices de pelletage. Pas si simple d’ailleurs, ce travail de pelletage, mais si important pour gagner le temps de ressortir une/des victime/s. Un commentaire amical résuma la satisfaction générale : “super journée, et puis… Louis était en forme !”. Juste eu le temps de dire que c’est habituel et nous nous sommes séparés. Merci à nos 5 guides-instructeurs : Louis Piguet, François Roduit, Loïc Perez, Hubert Bailloux et Christian Wittwer. La Para par la combe du Château Suite à de nombreux désistement, nous sommes seulement 5 à retrouver Laurent, notre chef de course, à la gare du Sepey. Avec les belles journées de janvier, la neige a bien fondu, aussi nous démarrons la randonnée à pieds, skis sur le sac, pour environs 20mn. 4 genevois garés à côté de nous, partent skis aux pieds et nous ont dit par la suite avoir trouvé une belle langue de neige que notre chef de course ne connaissait pas! A ski, nous arrivons au petit hameau de Meitreille, pour une courte pause, avant d'attaquer la combe du Château. Perchés sur l'arête rocheuse, plus loin, des chamois nous observent. Par cette magnifique journée, il fait très chaud dans la combe. Brève alte pour enlever une couche, une ombre vient dans notre direction, c'est un gypaète qui passe juste au dessus de nous, superbe ! En sortant de la combe, nous apprécions un peu d'air frais. La pente sommitale est gelée, par sécurité, Laurent nous propose de laisser les skis pour terminer à pieds. Descente en neige "transformée", plutôt bonne, même pour les moins bons skieurs ! Cette fois, c’est à ski que nous retrouvons les voitures, en évitant herbe et mottes de terre. Autour d'un verre, en terrasse du bistro, nous tirons au sort qui va faire le récit de course : Nicoline, Christine G, Adrienne, Bernard, Christine B ??? Merci à Laurent pour cette belle course, par un itinéraire peu fréquenté. Merci à tous pour la sympathique ambiance. Christine B Cascade de glace – 29 janvier Pour LA journée cascade annuelle, il semblerait que les années se suivent et se ressemblent un peu, niveau quantité de glace. En effet, Fabien doit user de toutes ses ressources pour nous trouver une cascade plus ou moins fournie et un site pas trop populaire. Il nous propose la cascade du Tunnel, juste avant Fionnay. Nous trouvons de quoi nous occuper toute la journée sur une glace un poil dûre au début de la journée, mais se “ramollissant” progressivement. Quelques lignes de “dry” nous permettent de tirer sur nos avant-bras et offrent de jolis challenges. Au final, une super journée avec une chouette équipe ! Merci à tous ! Samedi matin, nous partons du col du Pillon pour effectuer un superbe itinéraire en traversée jusqu'à Feuteusoey. Le Bel Oiseau était prévu au départ, mais les conditions étaient probablement moins bonnes que celles rencontrées lors de notre traversée. Nous entamons la montée. Couteaux nécessaires pour arriver jusqu'au Col de Voré mais le premier bout se fait tranquillement. Arrivés en dessous du premier sommet, la Palette, nous profitons de la vue avant d’entamer notre première descente. Juste à ce moment, le voile nuageux commence à se dissiper pour laisser place à un magnifique soleil. Et quelle neige ! Excellente, tout simplement. En bas de la pente nous remettons les peaux pour remonter jusqu'au Seeberghore. Et nous ne nous faisons pas prier pour profiter à nouveau d'une sublime poudre à la descente. Il faut remonter, mais l’enjeu en vaut la chandelle ! Au final cette traversée nous permet de faire plusieurs sommets (Blattistand, Blattipass) en profitant à chaque descente d'un pur moment avec cette impression de glisser sur une mer de coton. Le Waligurli marque la dernière descente jusqu’à Feuteusoey pour prendre le bus qui nous ramène au point de départ, le col du Pillon. Merci à Francine et Anne-Béatrice d'avoir organisé cette sortie et de nous avoir portés jusqu'au bout ! Merci à tous pour cette superbe énergie et cette bonne humeur ! Pierre Soirée dense et longue... Soirée dense et longue... Vous avez bien fait de ne pas venir ! c’était une “horrible” sortie. On est resté dans les alpages des préalpes, rien de prestigieux. Pfff ! des débutants, je vous dis. Paysage triste, traces laissées par de médiocres skieur/euses, ambiance pas top. Il faut absolument nous laisser cette neige pour la prochaine fois, on se dévouera encore pour vous éviter des efforts inutles. Par contre on vous laisse volontiers la neige-carton dans les hauts des stations chics. Nous, on reviendra encore dans cette région froide (-13° au départ et une bise pas très forte, mais mordante, sur la crête sommitale). Le chocolat, chaud, remplaça la bière au restaurant “zum Bäääre” à Gsteig, où l’on a bien rigolé. On s’y est demandé ce que pouvait vouloir dire Walliserwysspille; on hésitait entre pillule des valaisans blancs, jeu blanc des valaisans et d’autres idées loufoques. Après avoir orthographié correctement (si, si, il y a une orthographe en suisse allemand) Walliser Wyspille, on y voyait plus clair. “Walliser” parce que les droits d’alpages appartenaient aux valaisans de Savièse ; c’est ce qu’expliqua Bernard. Le reste ? Wyspille ? la tenancière du Bäääre, qui s’y connait, expliqua qu’il ne faut rien expliquer. Ca s’appelle comme ça. Point. Conclusion : faut venir aux randonnées à ski du mercredi car on s’y instruit. Et on réussit souvent une jolie sortie. chr Une météo qui s’améliore d’heure en heure, une petite couche de fraiche tombée l’avant veille et bien sûr, notre magnifique prof. de ski, Alain Foretay (ou l’homme qui sait caresser la neige) nous ont permis de passer une journée presque parfaite. Il nous a juste manqué une couche de neige un poil plus épaisse pour nous lâcher complètement. Chacun a tenté de mettre en pratique les conseils d’Alain qui avait fort à faire avec notre grand groupe. Quel régal pour les yeux de l’observer dévaler les pentes et avaler les difficultés, tout en souplesse ! “Y a plus qu’à faire comme lui” oui, mais voilà… On reviendra l’année prochaine, parce que c’est “trop bien” ! Bravo à tous les participants et surtout un immense merci à Alain ! Les randonneurs à tous vents Départ au Col de Chaude pour une sortie nocturne. Nous attendions des nuages qui joueraient avec la lune et du vent. Ce fut ça, mais avec un vent bien marqué. Chacun découvrit que 80 kmh (juste sous le sommet)... ça rend l'équilibre précaire. La rambarde de la plateforme sommitale étant en béton, seul le torse sortait, ce qui permit de se dresser face au vent pour voir les lumières de la Riviera et de bien plus loin. Le pique-nique, prévu au sommet, dut être déplacé à la gare des Rochers de Naye ce qui est moins romantique mais présente des avantages concrets (lumière, WC, surtout). Les photos sont de Claire; la conclusion appartient à Antoinette : “ Lors notre descente dans des des décors dignes d'Hallowen...j'ai été inspirée par le nez super ventilé... “ Viv' les Rochers de Naye Où un fort vent est né. Un astre bien luné, Une rando bien menée, Merci Christian ! La dernière rando du mardi mais pas la moindre ! A nouveau une belle, une magnifique randonnée en boucle entre Martigny et le Col de La Forclaz, de Ravoire au Mont de l'Arpille. Une belle équipe, Anita, Françoise, Laurence, Pascale, Régula, Véronique, Alain, Frédéric Belle météo, mieux que prévue, un peu de fraicheur automnale mais un soleil encore vif. Très peu de nuages, vent frais sur la crête et au loin quelques lenticulaires, signe de vent en altitude. Le décor? Encore parfait. Cette rando sur ce relief dégagé nous a offert des points de vues à 360°, Dents de Morcles sous un angle inhabituel, Leysin et les Tours de Famelon, Mayen et Aï coté Vaud, ensuite la Tour Salière, la vallée du Trient et ses villages, les crêtes frontalières à l'ouest, plus au Sud l'Aiguille du Pissoir, le Mont Blanc visible depuis le Mont de l'Arpille mais il portait un chapeau en nuage aujourd'hui, Et le Mont Vélan bien dégagé mais on n'a pas vu le vélo!!! :-) Pour finir le panorama, le Grand Combin au dessus de la mêlée, le Catogne, le Val de Bagnes, et entre le Montfort et le Grand Chavalard, le Valais !!! La vallée du Rhône jusqu'à Sion et tous les sommets en "Horn" vers l'Est. Partis donc de "chez Pillet", le sentier attaque raide dans une pente forestière, ça chauffe vite même si les passages à l'ombre nous rafraichissent. Arrivés au "Cœur", une belle clairière avec ses gouilles. A la surface de l'eau s'est formée un fine couche de glace, un patchwork de formes géométriques, très beau, C'est l'heure du café, organisation au top de Françoise, jusqu'au petit carré de chocolat pour les gourmandes et les gourmands, il y en avait dans cette clairière? Oh Oui : 9 !! Une rapide dégustation de myrtilles avant de repartir. Le chemin en montagnes russes continue près de la crête dans cette belle forêt ouverte, un coup ça monte, un coup c'est plat ou presque, c'est très beau, forêt très variée. Une autre gouille nous montre avec ses glaces fines en formes de grandes feuilles que les artistes art-deco des années trente n'ont pas tout inventé. Une passage en crête nous offre un beau point de vue sur la vallée du Trient, et une petite surprise cachée dans les rochers de cet endroit, une surprise du jeu planétaire "geocash" que je découvre, un jeu de cachettes à trouver et de petits objets à déposer, à prendre et faire circuler entre ces cachettes, un jeu pour tous. Les montagnes russes continuent, et nous nous élevons petit à petit vers le sommet par un secteur plus plat, une sorte de plateau sommital, avec d'étranges structures en bois qui surveillent les pare-avalanches en contrebas, peut être que ce sont des vigies, des gardes du Mont de l'Arpille? 2085m, tout près la table d'orientation nous attends là, pour le pique-nique mérité, le soleil d'automne irradie, une petite sieste s'impose ! 13h13 !!! Réveil ! Il faut se décider à quitter cet endroit idyllique, Redescente vers l'Alpage de l'Arpille, un endroit de paix et de tranquillité, nous marchons en silence. Et autour des arbres magnifiques, comme disposés par un jardinier invisible. Le pente devient plus forte, nous traversons une forêt plus fournie, avec mousses et lichens qui me font penser à une forêt fantastique. Encore un peu de descente pour retrouver le point de départ. Quelle belle journée ! The last but not the least !! Une excellente conclusion pour les randos du Mardi 2021 Il y aura de nouveaux Mardis! Et bientôt la neige!! Et bientôt le ski!!! Merci à tous, Anita, Françoise, Laurence, Pascale, Régula, Véronique, Alain et Frédéric A bientôt, Franck" Après deux jours de pluie la météo semble s'améliorer pour cette rando du mardi. La destination prévue, le sommet de Malatraix par la Pointe de l'Aiguille et le retour par La Braye, est donc maintenue. Le terrain humide avec des passages parfois étroits demande un peu de concentration mais ne pose pas de problème au groupe habitué à ce genre de pratique. La grande partie de la montée se fait en sous-bois, la pente souvent raide se révèle assez glissante. Arrivés au sommet de Malatraix nous redescendons un peu pour pique-niquer à l'abri du vent. Le soleil pointe son nez faisant quelque peu oublier le temps brumeux et très nuageux qui nous a partiellement masqué les points de vue sur le lac, la Tour d'Aï et la Tour de Mayen. La descente se fait sur terrain souvent boueux où les bâtons se montrent très utiles pour se maintenir debout. La boue me fait des semelles de plomb et me donne la sensation de grandir de quelques centimètres. Les rochers et les plaques d'herbe permettent de se débarrasser un peu de cette terre collante. Tout cela n'entame pas la bonne ambiance qui règne au sein du groupe et après 900 mètres de dénivelé et une distance de 12 – 13 km nous retrouvons les voitures au Col de Chaude. Un grand merci à Françoise et Laurence pour l'organisation de cette sortie des randos du mardi et à tous les participants pour leur convivialité. François La gare de St. Triphon était le point de rencontre ce matin du samedi 11 septembre pour nous 10. Sous un soleil radieux, nous avons traversé Champéry pour grimper jusqu'au plateau de la Barme. Sans tarder, nous nous sommes installés avec nos tapis de yoga à côté du torrent de Barme, qui se la coulait aussi tranquillement que nous. Jenny, notre super prof de yoga, arriva facilement à nous immerger dans une belle sérénité reposante, quand une poule heureuse traversa notre groupe de yogi en gloussant et piaillant. Le propriétaire, armé de ses graines, vint la chercher aussitôt pour la ramener à son drôle de campement. Après ce p'tit échauffement musculaire nous nous sommes attaqués à nos premières voies d'escalades. Tanja Samedi 4 septembre, une équipe de 6 grimpeurs s'est rendue à Vionnaz pour se frotter aux 20 longueurs de la voie coup de brosse, CDB pour les intimes. Ce marathon est constitué d'une escalade peu homogène, souvent facile, mais sur un beau rocher très bien équipé. L'idéal pour un samedi matin ensoleillé ! 3 cordées mixtes furent constituées et les grimpeurs s'élancèrent dans leur ascension. Ce parcours fut l'occasion pour certains de découvrir la progression à corde tendue. Ainsi, les 15 premières longueurs furent rapidement escaladées et les grimpeurs profitèrent de s'arrêter pour une petite pause. Ce sympathique intermède a failli tourner au drame, un caillou de la taille d'un ballon de football se décrocha du sommet de la falaise et passa à proximité du groupe. Après cette petite frayeur, les grimpeurs se remirent en route. L'ensemble des participants portait des chaussures suffisamment profilées, ainsi la descente de retour se déroula sans incident et nos grimpeurs purent fêter leur ascension réussie sur une terrasse de Vionnaz. Laurent Alter Partis du col du Pillon, nous avons pris le joli sentier panoramique en direction du refuge de Pierredar. Passant dans la forêt puis dans l'alpage, la sente se dirige ensuite contre une paroi rocheuse où une table nous attend pour le pique-nique. Ensuite nous continuons en traversant la rivière ; c’est à ce moment qu’il commence à pleuvoir, nous partons en échappée jusqu'à la cabane. Le soir, nous avons droit à un magnifique coucher de soleil orangé. Départ le matin vers 6h30, Christian nous guide car le chemin est difficile à trouver. Nous alternons notre ascension entre cailloux, rochers, glace, névé. Nous sortons les crampons pour progresser sur le glacier de Pierredar, esquivant quelques crevasses. Nous arrivons au col : la partie escalade commence alors avec plusieurs petits passages où il faut grimper un peu. Nous passons le pas du Lustre et continuons pour arriver jusqu'à la croix : une magnifique montée pour cette course qui nous a menés au sommet des Alpes Vaudoises, à 3210 mètres d’altitude. Fiers de notre réussite, nous descendons maintenant sur la neige, pour rejoindre le sentier qui nous mènera jusqu'aux installations du Glacier 3000. Quelle joie de s'économiser 1400 mètres de dénivelé négatif ! Une sortie mémorable avec une très bonne ambiance ! Pierre… pour Christian, Véronique, Christine et Violaine C’est mardi… on va faire un tour ? Le tour d’un «tas » ?... D’acc, c’est parti pour le Tour de la Maya ! Selon la toponymie orographique de la Suisse (et pour faire court…) un des termes rendant l’idée de « tas de foin » ou de « tas » en général, offre un intérêt tout spécial au but de notre tour, c’est celui de « MAYA » ! (Intéressant aussi de savoir que « Maya » signifie « montagne ou rocher » en Albanie). Rendez-vous à 07h30 au restoroute du Saint Bernard avec Françoise, François, Francine, Regula, Anita, Christine, Pascale, Thérèse, Carol, Véronique, puis départ sans tarder pour le Val d`Hérens jusqu’aux environs de l’alpage de Loveignoz au-dessus de Suen. Voyant au loin le « tas » imposant dont nous allons faire le tour, son nom de « Maya » s’impose réellement. Après deux heures de marche nous atteignons le Pas de Lovégno d’où la vue sur le beau Vallon de Réchy s’offre à nous. La cabane des Becs de Bosson (2985m) nous accueille pour le pique-nique, car dehors il fait vraiment très frais ! Le ciel est couvert, les montagnes « bouchées », et malheureusement le magnifique panorama fait totalement défaut. Qu’à cela ne tienne, la bonne ambiance est de mise ! Le retour se fait en logeant la crête au-dessus de « L’A Vieille » pour rejoindre ensuite, dans un décor multicolore de petites fleurs de montagne puis de bruyères roses, l’alpage de Loveignoz. Le tour de cet étrange « tas » est bouclé. Merci à tous ainsi qu’à Françoise pour cette jolie sortie. Alors…au prochain mardi ? … pour faire un tour ? … Véronique A l’assaut du plus haut sommet des Alpes de randonnée T3, le Barrhorn haut de ses 3610m domine la vallée de Tourtemagne et chatouille les 4000 environnants (Bishorn, Weisshorn...). Nous sommes partis vendredi 13 août 21 à 15h30 de Sänntum (au fond de la Turtmanntal) sous un soleil radieux pour atteindre la Cabane du même nom de la vallée vers 17h30. Le rose du coucher de soleil sur le Bishorn nous confirme un lendemain radieux. Le réveil est fixé à 5h00 afin de ne pas souffrir de la chaleur et d’éviter les groupes trop volumineux de randonneurs sur les mêmes sentiers alpins. Peu après la cabane, 1er et dernier passage technique qui demande un pied sûr dans un couloir de caillasse. Pour les randonneurs moins agiles, des marches sont taillées dans le rocher et une main courante sécurisent ce passage pouvant être délicat. Cela débouche sur une longue et interminable moraine avant de grimpe vers les crêtes du Inners- et Üssers-Barrhorn. Plusieurs sentiers y mènent. Nous décidons d’aller jusqu’au col du Schöllijoch (à côté du Schöllihorn (3500m) et de suivre la crête jusqu’au plus haut sommet (Üssers-Barrhron) à 3610m. Plus de 3h30 de marche jusqu’à ce magnifique bec surplombant St Niklaus dans la vallée de Täsch. La descente sera plus directe vers la cabane croisant bon nombre de randonneurs. Après 2h30 de marche les tables de la Turtmannhuette sont déjà bien remplies. Nous mangeons et décidons de prendre le chemin du retour. Nous atteindrons Sänntum vers 14h30. Un weekend absolument splendide avec des amoureuses et amoureux de la montagne et du grand air. Merci à Christine, Nicoline, Maud et Gilles pour leur sourire et leur compagnie. Vincent B. Alphubel par l’Eisnase 6-7 août 2021 Il était une fois 7 petits nains qui avaient décidé de gravir un sommet de 4000 mètres situé dans les alpes valaisannes, à mi-chemin entre Saas-Fee et Täsch. Comme la montée à la cabane Täsch est une baladounette d’un peu plus d’une heure, Grincheux, Prof, Simplet, Timide et Atchoum optent pour une grimpette à Bramois, histoire de se dégourdir les jambes et les bras. Quant à Joyeux et Dormeur, ils rejoignent le reste du groupe en fin de journée. Le lendemain au petit matin, à la lumière de leur lanterne frontale, nos sept coquins se mettent en chemin. Ils avancent tranquillement mais sûrement, dans la nuit timidement étoilée. Lorsqu’ils atteignent le glacier, le jour commence déjà à pointer le bout de son nez. Et Hop, ils sautent dans leur baudrier, s’encordent et poursuivent leur chemin en direction de l’Alphubeljoch. Arrivés au col, ils se font cueillir par le vent du sud qui souffle déjà assez fort. Bien que les petits malins s’y soient préparés, ils se font chahuter sur la crête et ont toutes les peines du monde à gravir la pente de l’Eisnase, heureusement en très bonnes conditions. Il ne reste que quelques centaines de mètres jusqu’au sommet, lorsque le vent devient subitement tempétueux. Nos sept valeureux s’arqueboutent sur leur pioche-piolet et doivent par moment s’accroupir et attendre quelques secondes pour ne pas être renversés. La vision de la croix, juste là, à deux pas leur redonne du courage et ils parviennent finalement au sommet. La descente par la voie normale est protégée du vent et c’est un réel soulagement de marcher plus sereinement. Le retour à la cabane n’est plus qu’une formalité, tout comme le chemin jusqu’à Täschalp. Malheureusement, pas de Blanche-Neige à l’horizon. Bravo les 7 vaillants (Nathalie J, Sylvia, Nadia, Violaine, Pierre, François et Francine) Chemin des Quatre Sources… revisité Semaine de randonnée du 31 juillet au 6 août 2021. « s’il n’y a pas de suspense météo, il faut un autre suspense, sinon la journée est plate » dixit le chef de course ! Pour commencer, Bertrand, notre chef de course, doit revoir complètement le circuit prévu, afin de trouver une place en cabane pour Laurence, Véronique, Christine, Françoise et Christian. Ce seront les cabanes Badus (source du Rhin), Cadlimo, Rotondo, Sidelen (suspense : on est sur liste d’attente), l’hospice du Gothard et l’auberge Alpenrösli Grimsel. Bertrand nous propose un itinéraire attractif. Nous monterons par le Pazola Stock, le Val Maighels, le Passo di Lucendro (source de la Reuss), prendrons le raccourci (suspense : c’est balisé ? faut voir…Bleu-Blanc) de la Cresta del Poncionetto (Val Bedretto, où le Ticino pend sa source), découvrirons le passage grandiose par les éboulis de granit rose, les «escaliers» du Ronggengrat et inaugurerons le sentier tout récemment réaménagé par les Stotzigen Firsten pour rejoindre la Furka. Puis vient l’étape clé du parcours. Il faut trouver une combine pour franchir le Rhône à sa source. Sauter le déversoir ? ramer sur le lac de fonte ? traverser le glacier ? suspense… faut voir ! L’épais brouillard et la neige à la cabane Sidelen règleront la question : ce sera en bus postal, du col de la Furka à celui du Grimsel! Nous occuperons l’après-midi par le tour du Sidelhorn. Nous apercevrons, depuis l’antenne entre deux trouées de nuages, les glaciers des sources de l’Aar. Le dernier jour (deuxième sans précipitations) le soleil nous accompagne quand nous longeons les magnifiques dalles du Räterichsbodensee et lors de la montée au Gelmersee. La descente en funiculaire, le deuxième plus raide du monde, vaut son pesant d’émotion. En sept jours de marche, 5200 mètres de dénivelé positif et 23'999 pas en moyenne journalière, nous avons parcouru le château d’eau de l’Europe, dans des conditions météo souvent rudes, mais aussi dans la bonne humeur. « On aurait quand même pu faire un pas de plus par jour » ;-) Un tout grand merci à Bertrand pour l’organisation de cette belle aventure et la conduite en terrain … à suspense ! Françoise Texte à venir. Entre deux semaines de mousson froide… un week-end radieux… que demander de Anne-Béatrice Après les grosses pluies du début de juillet, la course est reportée au mardi 20 juillet: Rendez-vous à 7h45, parc des Glariers, Aigle. Grand soleil et les températures sont déjà douces à cette heure matinale; la journée promet d’être estivale!! Nous partons depuis Lauenen et longeons son lac majesteux et propice à la médiation et à la sérénité. Nous passons par la cascade Gälteschutz, environs 3 heures et demie, dénivelé 760 m. Nous rencontrons au fur et à mesure de notre ascension un paysage et un relief très différents: forêt, ombre, odeur de sous bois, cascades (rafraîchissantes!), Lys et orchidée, soleil, rocaille. Nous arrivons à la Geltenhütte vers 12h et décidons de poursuivre notre effort de 20 minutes supplémentaire et arrivons devant un paysage couleur taupe/gris, presque lunaire et hypnotique, parsemé de taches de neige par endroits. Une cascade gigantesque sort des entrailles de la montagne. Idéal pour notre pic-nic! Nous sommes entourés d’edelweiss, de fleurs d’arnica, d’orchidée.. juste parfait. La descente se fait par le sentier exposé dans le versant ouest du Follhore, puis le Gältetrittli, passage empruntant une échelle de 6 mètres, (environs 2 heures). Nous passons devant la maison de “Heidi”, découvrons que les montagnes sont recouvertes par endroit de patchwork, la vue est époustouflante et diversifiée. Une vraie poésie pour l’âme. Nous arrivons après 6h50 au total et 930 m de dénivelé à Lauenen au parking. Nous décidons de profiter de la belle terrasse du restaurant. Pour information la carafe d’eau est à 7 frs! Je vous conseille pour le même prix un “café fertig” ;-) Je remercie Françoise pour l’organisation de cette superbe journée ainsi que Laurence, Véronique, Regula, Franck, Fiorino pour tous ces moments de partages et leur bonne humeur! A bientôt! Pascale Semaine d'été (d'automne ?) dans les Grisons Lundi 5 juillet, à peine arrivés, nous avons pris les installations pour monter sans effort jusqu’à la cabane Diavolezza ; la via ferrata initialement prévue n’étant pas encore ouverte, nous sommes montés au Piz Trovat pour nous entraîner à manipuler le matériel et à faire des mouflages. Le lendemain, une belle journée s’annonce : debout à 3h, et c’est parti pour 13 heures de marche, qui commence avec un sublime lever de soleil quand nous arrivons au glacier. C’est une traversée des Palü éprouvante et riche en émotions, depuis l’arête vertigineuse jusqu’à la moraine – sans oublier les rappels – dans un panorama magnifique. Le lendemain, après une nuit réparatrice à la cabane Boval (et son gardien en or qui répare aussi les chaussures !), c’est journée escalade : via Momo, puis quelques voies juste au-dessous, et nous rentrons quand la pluie nous chasse. Le soleil n’a pointé le bout de son nez que le lendemain pour passer le col Fuorcla : après une montée magnifique dans des vires rocheuses parsemées de fleurs roses, nous rencontrons le vent, beaucoup de vent. Nous décidons d’aller au Piz Tschierva plutôt qu’au Piz Morteratsch à cause de la tempête de foehn, ce que nous faisons à grand peine face à des rafales de 80 km/h. La descente se fait rapidement, juste le temps de croiser quelques chamois avant la pluie et la grêle, jusqu’à la cabane Tschierva. Au matin du dernier jour, debout à 3h : le mauvais temps est encore bien installé, il a neigé. Nous tentons notre chance pour le Piz Morteratsch, mais le brouillard ne se dissipe pas, et nous faisons demi-tour, sans regret. La tarte aux noix, les marmottes sur le sentier, et surtout les blagues de Bertrand ont bien égayé la descente jusqu’à Pontresina, où nous reprenons la voiture. Une semaine inoubliable ! Violaine Theraroz Récit - Cours technique dans le val de Moiry L’image de « Petzi alpiniste » envoyée par Francine Bohren aux participant(e)s affichait déjà les couleurs de ce qu’allait être ce weekend. Un moment de franche camaraderie ponctué d’un objectif commun à atteindre pour chacun(e) avec son propre style. Au menu : cramponnage, technique de corde, moufflage sur glace et neige, rappel, appréhension de la chute et progression de cordée à deux et trois homo sapiens (jour 1). Le weekend s’est terminé par une course alpine au sommet du Pigne de la Lé. Jour 1 Arrivé au parking du barrage de Moiry, les « Petzi », « Amiral » et autres « Riki » sont répartis en groupe en fonction de leur expérience. L’approche du glacier par la moraine permet à chacun de faire connaissance, prise de contact facilitée par la même passion qui anime chaque participant(e). Quel magnifique créature qu’est l’espèce humaine… Ajoutez lui des crampons au pied et faites la marcher sur les ondulations d’un glacier, vous obtiendrez la quintessence de l’élégance ! A dire vrai, cette première étape nous rappelle notre fragilité en milieu glaciaire qui appelle à la plus grande concentration et maitrise. C’est donc avec la grâce de chamois que l’équipe de Petzis évolue sur tous les types de pente, crampons au pied et piolet(s) à la main. Après une pause sur ce frigo, la suite s’annonce plus technique que physique avec la pratique du moufflage pour sauver les malheureux(se) tombé(e)s dans les crevasses. Entre noeuds, cordes, prusik, sangles, mousquetons, vis à glace, bloqueurs, poulies, il y a de quoi donner le vertige, mais c’est avec une grande assiduité que les sacs à dos sont sauvés d’une mort certaine. D’autres compagnons en quête de plus de frissons s’adonnent à de la grimpette « piolets-crampons » sur des parties plus verticales. La fin de journée arrive et il est enfin temps de rejoindre la cabane avec plus ou moins de jus (ou de semelles…) pour enfin goûté à cette panaché grapefruit, Graal de tout « Amiral » qui se respecte. Après un repas hispanique copieux et un couché de soleil invitant à la rêverie, l’équipe de Petzis se retire dans ses quartiers pour recharger ses batteries. Jour 2 4h30, un déjeuner en vitesse avant de vérifier son matériel et s’équiper pour un départ à 5h15 tapantes. Pas besoin de lampe frontale, puisqu’il fait déjà jour et que nous assistons à un lever de soleil dont la montagne a le secret. La progression se fait tranquillement entre cailloux et névés, plat et pente ; progression rendue très aisée grâce à nos fantastiques guides taillant à la sueur de leur front et à la force de leur bras des marches dans la neige. Ce service de luxe se poursuit après le col du Pigne, lors de l’entame de l’arrête sommitale sur laquelle les binômes constitués la veille se forme. Parce que le cours technique implique aussi cela ; l’engagement et la responsabilité, mais avec un service first class de la part de nos guides. Concrètement, la progression s’effectue par cordées de deux, un « Amiral » et un « Riki » (à vous de décider qui est qui), pendant qu’un guide fait des aller et retours entre les différents binômes afin de conseiller, sécuriser et rendre autonome les alpinistes en herbe. L’esprit d’équipe s’en trouve renforcé par la bonne humeur d’avoir atteint le sommet du Pigne de la Lé (3395 m). Comme tout bon groupe de montagnards du XXIe siècle, de nombreuses photos sont prises sur les sommets en partie identifiésvia les applications des smartphones. Zinalrotthorn, Obergabelhorn et autre Matterhorn invite une fois de plus à la rêverie d’aventures entre copains ou en famille. La descente s’effectue par le glacier sur lequel les cordées continuent leur progression dans un autre style. La marche dans les dévers puis au plat dans les traces sollicite passablement les chevilles et c’est avec plaisir que les crampons sont enlevés une fois sortis du glacier. Ce n’est pas terminé pour autant, car avant de rentrer à la cabane pour se ravitailler, l’équipe de Petzis a le droit à sa petite séance technique : appréhension de la chute et moufflage sur neige (ancrage piolet), entre autre. Tout le monde se prête au jeu de la chute et peut se rendre compte d’un phénomène physique bien connu : tout le monde aime faire de la luge ! Le retour à la cabane s’effectue rapidement - pressés d’aller où ? - afin de récupérer les sacs à viandes et autres charges inutiles à cette course du 2e jour. La concentration est toujours de mise lors de la descente où seuls quelques ovnis rutschent sur les névés quand certains ont les genoux qui couinent. Après la prise de congé au parking, c’est avec cette même bonne humeur que chacun rentre la tête pleine d’étoiles se remémorant les instants marquants de ce weekend. « Amiral » Sébastien Sollberger Rando 2 – 15 juin 2021 Ce sont 13 personnes qui se sont lancées à l’assaut des virages pour atteindre la chapelle St-Antoine, afin de découvrir le trophée de la rando : le sabot de Vénus. Petit mode d’emploi pour que le Jedi des Alpes qui sommeil en toi puisse s’épanouir : • Au week-end d’escalade « la voie des guerriers » tu t’inscriras. • Avec Vincent Hensch tu te formeras. • Sur des escarpements, entre Villeneuve et Massongex, tu grimperas. • D’autres samouraïs des falaises tu assureras. • Des chutes nombreuses tu pratiqueras. • Regarder, respirer, te détendre et être dans le flow tu tenteras. Et peut-être … • La peur jamais plus tu n’éprouveras. • Les rochers de tes rêves tu graviras. Mais surtout … • Ce mantra, dans ta tête, tu imprimeras : Quand tu te reposes, repose-toi. Quand tu grimpes, grimpe. Alors, merci aux autres samouraïs pour les assurages dynamiques et les partages, merci aux organisateurs pour leur souplesse, merci à Francine pour son accueil généreux et merci à Vincent de nous montrer la voie… Anne-Béatrice Sa 26 fév. 2022
Spitzorli et Monte Leone
Me 16 fév. 2022
Clair de lune à ski de rando
Me 9 fév. 2022
mercredi de rando à skis: 2. Cape au Moine
Di 6 fév. 2022
Cours "avalanches" - pratique dans le terrain
Sa 29 jan. 2022
La Para par la combe du château
Sa 29 jan. 2022
Cascade de glace
Sa 22 jan. 2022
Bel Oiseau
Je 20 jan. 2022
Lecture de carte, orientation
Me 12 jan. 2022
mercredi de rando à ski: 1. Walliser Wyspile
Sa 8 jan. 2022
Cours technique de ski
Me 20 oct. 2021
Pleine lune aux Rochers de Naye
Ma 12 oct. 2021
Les randos du mardi 6 - Mont de l'Arpille
Ma 21 sept. 2021
Les randos du mardi 5 - Malatraix
Sa 11 sept. 2021
Week-end Yoga / Escalade
Voici un petit extrait du site web de la région du midi: les 57 voies du site d’escalade vous conduisent vers des jeux d'équilibre vous faisant danser avec le rocher, sous forme de petites ascensions à effectuer sur une falaise calcaire de 40m de haut (difficulté de 3+ à 7b). Sur le magnifique plateau de Barme, se trouve le site d’importance de la vallée. Lieu convivial par excellence, d’accès immédiat et offrant un large éventail de voies faciles, il accueille familles et grimpeurs de tout horizon. En effet, nous avons profité chacun a son rythme en découvrant au fur et à mesure les diverses voies et hauteurs du rocher. Pour bien détendre nos corps et notre mentale mise à l'épreuve (pour certaines :)), une séance de yoga de relaxation a été proposée en fin de journée, avant de prendre possession de notre dortoir à la Cantine de Barmaz. Comblé et entièrement satisfait de la première journée de notre week-end, nous nous sommes retrouvées sur la terrasse pour un verre baigné par le dernier rayon de soleil. Le lendemain le rendez-vous à été donné à 8h00, juste avant le petit-déjeuner. La, une surprise nous attendait ! Alain s'était déjà installé sur son tapis de yoga et jouait tranquillement du hang. Le son nous envoûtai et nous invitait à nous immerger rapidement dans le monde des yogi accompagné par la douce voix de Jenni. Nous étions à tell point déconnecté, jusqu'à ce que nos estomacs se mirent à gargouiller. Bien restaurées, nous nous sommes acclimatés tranquillement au soleil sur des voies simples. Pendant l'autre partie de l'équipe s'attaquait déjà à des voies plus difficiles et plus longue. Vers midi, l'odeur du feu de bois chatouillait notre nez. Une partie de l'équipe s'était attaquée aux grillades : cervelas, halloumi, légumes, etc. Un vrai repas 5 étoiles avec la tarte aux noix et autres délices pour le dessert. Nous fîmes interrompre par un troupeau de chèvres, dont 2 petites nous ont fait la démonstration d'une grimpe avec aisance sur un 4c. Quel plaisir de partager ce beau moment avec une super équipe, le vrai bonheur ! Nos organisateurs nous ont laissé le choix entre continuer de grimper ou une dernière session de yoga pour terminer l'après-midi. Les 2 groupes se sont retrouvés pour un dernier verre sur l'autre terrasse de la Barme. Philosophant sur notre week-end, nos exploits respectifs, nos rencontres animalières et surtout, nous en avons tous profité pour remercier chaleureusement nos 2 organisateurs, Jenny pour la partie de yoga et François pour l'organisation du week-end sans faille, c'était top ! Nous sommes prêts à nous inscrire pour 2022, peut-être au même endroit, même météo pour de nouvelles aventures:)Sa 4 sept. 2021
Longue voie - L'île aux Razmokets
Sa 4 sept. 2021
Les Diablerets par le Pas du Lustre
Ma 24 août 2021
Les randos du mardi 4 - Tour de la Maya
Ve 13 août 2021
sommet du Barrhorn (VS-Turtmanntal)
Ve 6 août 2021
Alphubel
Sa 31 juil. 2021
Chemin des 4 sources
Sa 24 juil. 2021
Aiguilles du Tour
Sa 17 juil. 2021
Combin de Corbassière
plus ! C’est donc une superbe fenêtre météo qui nous a accompagné lors de l’ascension
du Combin de Corbassière.
Après une montée tractée jusqu’à la cabane Brunet, nous voilà partis en direction de Panossière.
Nous montons jusqu’au col des Avouillons, puis redescendons en direction
d’une passerelle suspendue, plutôt bienvenue pour qui ne veut pas aller au fond de la
gorge tâter l’eau du torrent de Corbassière. Enfin, nous remontons derrière la moraine, et
nous voilà déjà tous assis pour l’apéro et le délicieux repas à la cabane.
Un réveil au petit matin, juste de temps d’utiliser les frontales, et nous voilà déjà en train
de traverser le glacier de Corbassière qui cache passablement de trous. La prudence est
de mise ! Nous remontons sur la neige qui tient encore juste juste… puis c’est une belle
arête de rocher qui nous accueille. Nos trois cordées se suivent dans cette escalade ludique
et débonnaire qui nous conduira jusqu’à la croix sommitale.
Quelle vue ! Sous un ciel limpide, nous admirons les sommets voisins et moins voisins, et
surtout un Grand Combin aussi blanc qu’en hiver.
Toute cette neige fraiche fait que nous renonçons à une éventuelle extension jusqu’au Petit
Combin et redescendons afin de rejoindre nos traces du matin… dans une neige devenue
bien pourrie.
Depuis la cabane de Panossière, la descente se fera par un autre itinéraire, au nord de la
Beca de Sery. Sur ces pans, la végétation est absolument magnifique ! Finalement, nous
rejoignons Brunet, nos tongs et nos carrosses.
Merci à tous les participants pour ces deux jours dans le val de Bagne, et surtout un immense
Merci à François et Francine pour leur disponibilité et leur coaching hors-paire.
Et si par hasard vous passez par là-bas… voilà un joli jeu de mot à placer, peut-être, selon
les circonstances : « Ben moi, j’ai passé la panosse hier ! » (merci Adrien (-:)Ma 13 juil. 2021
Les randos du mardi 3 - Geltenhütte en boucle
Lu 5 juil. 2021
Semaine d'alpinisme dans les Grisons
Sa 26 juin. 2021
Cours technique - lieu à définir
Ma 15 juin. 2021
Les randos du mardi 2 - les sabots de Vénus
Après une belle transpirée, notre effort est récompensé juste au-dessus, bien plus haut que les autres années, au bord du chemin à plat qui mène au point 1628m. Peut-être que nous sommes plus tard dans la saison ou que le réchauffement climatique les fait s’épanouir en altitude…
Puis la montée continue au rythme de chacun pour s’économiser et arriver au but des 1550m de dénivellation. Une pause picnic est bienvenue près du point de vue sur les cinq 4’000m, seigneurs de la vallée, le Weisshorn, Zinalrothorn, Cervin, Dent Blanche et Dent d’Hérens. Quelle beauté !
Puis, la marche continue plus calme pour découvrir l’Illgraben puis arriver à Chandolin, après 6h de marche et 12 km, où l’on attend le car pour redescendre vers nos voitures. Une belle journée sportive et ensoleillée, qui nous a permis d’observer plus de 7 orchidées différentes et d’autres fleurs de montagne magnifiques.
Merci à Françoise et Laurence pour cette proposition….
Sa 5 juin. 2021
Guerriers du rocher